24 novembre 1995, matin. Première Conférence internationale sur la restauration, Sala di Lorenzo, Palazzo Vecchio, Florence, «Enzo D’Angelo ouvre les prolusions en définissant la position particulière de la restauration dans le champ herméneutique et l’état perméable de la discipline soumis à divers clivages entre interprétations, science, législation et contrôle, pratique et rapport à la conscience historique, configurant le conservateur en tant que “critique de texte”. Il propose donc la dimension dialectique, développée dans les civilisations urbaines historiques, pour concilier l’homme et l’environnement, l’éthique et l’esthétique, les théories entendues comme des hypothèses et la réalité à surveiller pour ne pas qu’elle s’épuise de la mémoire ».Ananke, revue, n°12,1995